Fédération Française des Associations de Commerçants (FFAC)
Siège social :
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Publié le 08 août 2008 à 13:16:34 dans Nos documents | Commentaires (0) | Permaliens
Texte mis en ligne le 9 septembre prochain
Publié le 08 août 2008 à 13:04:15 dans Nos documents | Commentaires (0) | Permaliens
Le Conseil d'Administration de la Fédération Française des Associations de Commerçants (FFAC) qui s'est réuni le mardi 9 septembre à Paris a décidé de proposer à Monsieur NOVELLI, Secrétaire d'Etat au Commerce et à l'Artisanat, de dédier une partie de la TACA à la structuration des associations de commerçants.
C'est ainsi que sous l'égide des différentes Délégations Régionales au Commerce et à l'Artisanat (DRCA) les unions commerciales pourraient, sous certaines conditions qui restent à définir, déposer un dossier de demande de co financement d'un poste : managers de centre ville, chargés de mission ou autres animateurs commerce.
Les règles de financement pourraient être similaires à celles du FISAC avec un plafonnement de 15 000 euros de subvention par période retenue (un ou deux ans).
Les partenaires traditionnels que sont les collectivités et les chambres consulaires seraient signataires d'une convention commune.
Ce nouveau dispositif, plus souple que le FISAC, permettrait ainsi de poursuivre les actions de développement du commerce à l'issue d'un FISAC ou de créer sur certains territoires les conditions nécessaires à l'élaboration d'un dossier FISAC.
Publié le 08 août 2008 à 12:52:28 dans Positions sur la TACA | Commentaires (0) | Permaliens
L'ouverture des commerces le dimanche est un débat récurrent.
Le 13 juillet 1906, après un siècle de débat, l'Assemblée nationale, à l'unanimité, votait le principe du repos dominical pour les travailleurs.
Aujourd'hui, ce que nos anciens ont mis en place est remis en cause alors que le repos dominical constitue un pilier de notre société.
Le dimanche est un point fixe structurant, permettant de se retrouver et de consolider la cellule familiale de plus en plus éclatée et dispersée. C'est aussi un temps privilégié pour les activités culturelles, sportives, ludiques, touristiques, associatives...
Les commerces n'ont pas vocation à l'éducation sportive, culturelle ou ludique des enfants.
Une ouverture dominicale généralisée serait néfaste pour l'équilibre des diverses formes de commerce et notamment pour le commerce de proximité.
En effet, la grande distribution plus flexible et souple s'adapterait très bien à cette nouvelle organisation, ce qui est impossible pour les commerces indépendants que nous défendons. Ces derniers seront, pour la plupart, incapables de proposer à leur clientèle une ouverture le dimanche faute de personnel et de flexibilité. Les investissements nécessaires seraient trop importants.
Selon une enquête de la CGPME, 79% des commerçants estiment que, s'ils devaient ouvrir leur commerce le dimanche, leur activité ne leur permettrait pas de remplacer les membres de leur personnel.
La plupart des commerces de proximité comptent en moyenne 2 salariés ce qui rend impossible un roulement dans l'entreprise sur 7 jours. Cette impossibilité engendrera un déplacement des parts de marché et un déséquilibre économique en faveur de la grande distribution.
Certains clament le fabuleux effet de levier de l'ouverture dominicale sur la consommation. Hors 1 euro est 1 euro, qu'il soit dépensé le samedi ou le dimanche. En effet, le pouvoir d'achat n'est pas extensible et ce n'est pas en élargissant les horaires d'ouverture que les clients dépenseront plus. Il ne s'agira que d'un déplacement dans le temps d'une dépense qui ne varie pas. Les parts de marché prises le dimanche se traduiront par une diminution de la rentabilité des jours de la semaine.
Pis encore, la généralisation de la commercialisation des produits 7 jours sur 7 entraînera pour les consommateurs un surcoût quasi immédiat, qui s'explique par une hausse des charges de l'entreprise d'environ.
L'étalement du chiffre d'affaires du lundi au dimanche ne permettra pas de créer des emplois. Seule la masse salariale augmentera. Les prévisions du ministère du travail montrent que l'ouverture de tous les commerces 7 jours sur 7 se traduira par une perte de 30 000 emplois dans les deux premières années.
L'emploi occasionnel du dimanche constitue un personnel non professionnel, non motivé et en perpétuel renouvellement. Le travail le dimanche ne crée pas d'emploi pérenne. Au contraire, il accentue le travail précaire et créé un climat d'inconfort et de mal être social.
Une extension généralisée de l'ouverture dominicale des commerces entraîneraient des modifications structurelles substantielles dans l'organisation du fonctionnement de la société, impliquant nombre d'autres professions à ouvrir également et notamment les services publics, les services à la personne et les services de logistique et de maintenance.
Une enquête menée par la CGPME sur l'ouverture dominicale des commerces, en décembre 2006, montre que les commerces ne souhaitent pas non plus voire se généraliser l'ouverture dominicale.
90 % d'entre eux souhaitent en effet que le repos hebdomadaire reste dominical et 80 % souhaitent le maintien des 5 autorisations d'ouverture collective données par le maire.
Une ouverture généralisée le dimanche des commerces ouvre une voie supplémentaire à l'augmentation de la pollution atmosphérique et sonore engendrée par l'accroissement des flux routiers et la consommation supplémentaire d'énergie des magasins.
Publié le 08 août 2008 à 12:51:47 dans Ouverture des commerces le dimanche | Commentaires (0) | Permaliens
Publié le 08 août 2008 à 12:50:48 dans Soldes | Commentaires (0) | Permaliens
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