Fédération Française des Associations de Commerçants (FFAC)
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Conseil du Commerce de France
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Le 14 octobre, Centre-Ville en Mouvement organise une réunion d'échanges sur la thématique suivante : "Comment les centres villes peuvent contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, par des actions concrètes?". Cette réunion aura lieu au Ministère de l'économie et des finances.
"Les centres-villes offrent une multiplicité d’usages et de fonctions qui les expose plus particulièrement aux pollutions et aux pénuries de matières premières. Ces dernières années, les initiatives prises par les acteurs locaux dans le domaine de la mobilité et des transports, dans le secteur de l’énergie, de l’urbanisme ou du commerce, recouvrent un caractère stratégique dans la lutte contre le changement climatique. Nos centres-villes historiques sont ainsi appelés à devenir des éco-quartiers exemplaires."
Retrouvez le programme et les modalités d'inscription : http://www.centre-ville.org/evenement/grande-reunion-du-14-octobre/
Publié le 08 octobre 2015 à 07:45:04 dans Actualité | Commentaires (0) | Permaliens
En ma qualité de, Co-Président de la Fédération Française des Associations de Commerçants (FFAC), j'étais le 2 octobre à 9h30 sur RMC avec Jean Jacques Bourdin pour évoquer le projet du gouvernement relatif à la lutte contre la fraude à la TVA.
Publié le 03 octobre 2015 à 07:56:44 dans Actualité | Commentaires (0) | Permaliens
Un décret, publié ce 26 juillet, adapte les dispositions réglementaires du Code de l'urbanisme pour tenir compte de la possibilité désormais offerte aux communes de déléguer leur droit de préemption commercial aux établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), mais également à d'autres opérateurs publics : établissements publics y ayant vocation, sociétés d'économie mixte, concessionnaires d'opérations d'aménagement ou titulaires d'un contrat de revitalisation artisanale et commerciale. Le très attendu décret sur le contrat de revitalisation commerciale (Crac) a en effet d'ores et déjà été publié au Journal officiel du 5 juillet dernier (lire notre article ci-contre). Ces contrats, prévus dans le cadre de la loi du 18 juin 2014 sur l'artisanat pour juguler la vacance commerciale des centres-ville, seront expérimentés pendant cinq ans. L'expérimentation permettra à l'Etat et aux collectivités territoriales de charger l'opérateur choisi d'acquérir les biens nécessaires à la mise en œuvre du contrat, y compris via le droit d'expropriation ou le droit de préemption. Pour ce faire, le texte offre la possibilité aux communes de déléguer leur droit de préemption sur les fonds artisanaux, les fonds de commerce, les baux commerciaux et certains terrains faisant l'objet de projets d'aménagement commercial. Une nouvelle section y est consacrée au sein de la partie réglementaire du Code de l'urbanisme composée des articles R. 214-18 et R. 214-19. La délégation du droit de préemption des communes à leur intercommunalité résulte d'une délibération du conseil municipal. Elle peut être retirée par une délibération "prise dans les mêmes formes", ajoute le décret. Le titulaire du droit de préemption peut ensuite déléguer ce droit à un établissement public y ayant vocation, à une société d'économie mixte, au concessionnaire d'une opération d'aménagement ou au titulaire d'un Crac. Là encore une délibération du conseil municipal ou, le cas échéant, de l'organe délibérant de l'EPCI délégataire est requise.
Le décret modifie par ailleurs les dispositions du Code de l'urbanisme pour tenir compte de la modification des délais de rétrocession - du fonds artisanal, du fonds de commerce, du bail commercial ou du terrain - fixés par la loi. La loi porte en effet de deux à trois ans le délai dont dispose le titulaire du droit de préemption pour identifier un repreneur en cas de mise en location-gérance. Pour trouver un repreneur, la commune procède à un appel à candidature via affichage d’un avis de rétrocession. Lorsque l'exercice du droit de préemption a été délégué, "le délégataire transmet l'avis de rétrocession au maire qui en assure la publicité", précise le décret. La rétrocession s’effectue selon un cahier des charges approuvé par délibération du conseil municipal (ou de l'organe délibérant de l'EPCI délégataire). Le titulaire du droit de préemption doit recueillir au préalable l'accord du bailleur. La mention du délai "d'un an" imparti à la commune pour procéder à la rétrocession est quant à elle supprimée.
Philie Marcangelo-Leos / Victoires-Editions
Référence : décret n° 2015-914 du 24 juillet 2015 modifiant certaines dispositions du Code de l'urbanisme relatives au droit de préemption des communes sur les fonds artisanaux, les fonds de commerce, les baux commerciaux et les terrains faisant l'objet de projets d'aménagement commercial, JO du 26 juillet 2015, p. 12791.
Publié le 29 juillet 2015 à 10:38:00 dans Actualité | Commentaires (0) | Permaliens
La Loi Pinel du 18 juin 2014 sur l'artisanat, le commerce et les très petites entreprises a pour objectif de soutenir une offre commerciale et artisanale diversifiée sur le territoire. Pour répondre à cet objectif, la Loi prévoit la mise en oeuvre par l'Etat, les collectivités locales et leurs établissements publics, de contrats de revitalisation artisanale et commerciale, et ce via une expérimentation d'une durée de 5 ans.
Le décret du 3 juillet 2015 vient préciser les modalités d'attribution de ces contrats.
Les contrats de revitalisation ont pour objectifs :
Les quartiers prioritaires politique de la ville figurent parmi les périmètres ciblés par ce dispositif expérimental.
Les contrats de revitalisation doivent préciser l'objet, la durée, le périmètre géographique concerné et les conditions financières de réalisation. Ils vont également permettre à l'Etat et aux collectivités de charger l'opérateur choisi d'acquiérir les biens nécéssaires à la mise en oeuvre du contrat, y compris le droit de préemption ou le droit d'expropriation.
Le décret distingue 3 types de contrats et les procédures qui leur sont applicables :
Source : décret du 3 juillet 2015.
Publié le 17 juillet 2015 à 06:54:06 dans Actualité | Commentaires (0) | Permaliens
Votée l’an dernier, la loi Artisanat, commerce et petite entreprise comprenait plusieurs volet visant notamment à faciliter la vie des artisans et commerçants. Un volet de cette loi prévoit notamment une refonte du fond Fisac (Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce), explicitée par le décret qui est paru il y a quelques jours.
Fin mai, Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Economie sociale et solidaire, a lancé le premier appel a projet de ce FISAC, nouvelle formule. Le cahier des charges pour ce premier appel à projets vient d'être publié.
La date limite de dépot des dossiers en DIRECCTE est fixée :
Tous les dossiers déposés doivent impérativement respecter les modalités prévues par la cahier des charges, sous peine d'être déclarés inéligibles.
Pour consulter ce document : http://www.economie.gouv.fr/files/appel_projets_fisac_28052015.pdf
Publié le 10 juin 2015 à 18:42:48 dans Actualité | Commentaires (0) | Permaliens
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